Une fois que le terrain a été débarrassé des déblais de forage des pieux, nous nous sommes attelés à la réalisation d'une partie qui nous incombait : les réseaux. Un choix que nous avions fait sans savoir très précisément de quoi il retournait. En fait, entre début juillet mi-aôut, nous devions passer tous les tuyaux et fourreaux pour :
- - le puits canadien (une boucle de 100 mètres à une profondeur d'1,20 mètre)
- - l'alimentation en eau potable (12 mètres à 0,80 mètre de profondeur)
- - le circuit eau de pluie pour les WC (10 mètres à 0,80 mètre de profondeur)
- - les fourreaux pour l'électricité (75 mètres à 0,60 mètre de profondeur)
- - les fourreaux pour les télécom. (12 mètres à 0,60 mètres de profondeur)
- - les tuyaux pour l'assainissement collectif (30 mètres, de 0,80 mètre à 0,20 mètre de profondeur avec une pente de 2 centimètres par mètre)...
Si vous comptez bien, cela représente environ 160 mètres de tranchées (nous avons optimisé en utilisant la même tranchée pour plusieurs réseaux quand c'était possible), de profondeurs diverses, à creuser, puis à reboucher...
Ces six semaines ont donc été particulièrement sportives, grâce à une météo plutôt clémente.
Heureusement, de temps en temps, nous avons pu utiliser une mini-pelle, pour creuser les tranchées les plus profondes, en gagnant un temps précieux et en épargnant un peu nos bras.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire